Les développeureuses queer et queer games existaient déjà avant l'explosion du GamerGate. Les prises de positions et luttes féministes qui ont émergée du Gamergate on permis de visibiliser et créer des liens entre problématiques féministes (de représentation, d'invisibilisation et d'exclusion des femmes et personnes dissidentes dans une industrie dominées par les hommes blanc cis hétéro) et le monopole de la définition de ce qui est du jeu vidéo (revendiqué par de nombreuses communauté de Gamer comme essentiellement sexiste et codé pour répondre à certaines norme).

Suite à la popularisation de ces outils, on a vu se multiplier les plateformes de création commmunautaire et d'hébergement de jeux alternatifs. Les recherches actuelles mettent en exergue cette intersection entre questions des représentations de la diversité et réappropriation des modalités de création de jeu vidéo par les communautés marginalisées.

A l'heure actuelle, meme si les industries communiquent et se donne une image d'ouverture et d'inclusivité, il ne faut pas perdre en vue qu'elles font ça avec des vues mercantiles et dans des contenus souvent optionnelles où la charge de représentations et d'inclusivité est assumée par les choix de lae joueureuse.
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